mardi 29 janvier 2013

Qatar : un exemple à suivre !


La coupe du monde 2022 sera organisée par les Qataris, un pays en pleine essor économique mais aussi social. Cette attribution récompense les nombreux efforts fournis par le gouvernement.

Le Qatar est un pays dont la position géographique offre une terre d’Eden pour les supporteurs car il fait beau et chaud l’ensemble de l’année. Ainsi, lors de la Coupe du monde, l’ensemble des stades seront climatisés afin que les spectateurs  puissent profiter du spectacle dans les meilleures conditions possibles au sein des douze nouveaux ensembles construits pour cette occasion. Qui plus est, ces stades montés en kit vont être démontés et offerts à la fin de la compétition à divers pays en voie de développement.

Les Qataris, fiers de leur magnifique capacité d’organisation, ont accomplie en 2008 sur le circuit de Losail le grand prix de moto du Qatar. Il fut le premier grand prix de l’histoire à avoir eu lieu la nuit. Ainsi, on comprend parfaitement le choix de la FIFA.

En outre, cette confiance accordée par la FIFA est une fierté pour le pays puisque c’est la première fois que la coupe du monde se déroulera au Moyen-Orient. En plus, une coupe du monde doit se passer dans le monde, pas qu’en Europe.

Les sommes colossales investies reflètent un autre aspect qui domine le côté sportif. Ainsi, l’attribution de la coupe du monde 2022 est amplement méritée vu les risques courus par l’investissement engagé. Par ailleurs, tout ceci a été possible grâce à une alliance forte avec les pays d’Europe et notamment la France et son ancien chef de l’Etat Nicolas Sarkozy.
                  
           Pour tous les pays qui veulent organiser la coupe du monde à l’avenir, il faut suivre l’exemple du Qatar qui a su mener à bien l’un des projets les plus ambitieux qui n’a jamais étais pensé. Voilà, une preuve que même les petites nations ont les possibilités d’organiser un tel évènement.

mardi 22 janvier 2013

A quand une belle C.A.N. ?





Depuis le 19 janvier 2013, la Coupe d’Afrique des Nations bat son plein en Afrique du Sud. Néanmoins, on vient à se demander si les investissements effectués pour le déroulement de la coupe du monde 2010, elle aussi organisée dans ce même pays, ne sont pas un gouffre pour l’économie sud-africaine ?

Lorsque certains restent pessimistes sur la question, d'autres pensent toutefois que les fruits de l’investissement arriveront un jour à maturité.
En effet, quand on voit que sur les dix stades rénovés ou construits à l'occasion de la première Coupe du monde africaine de l'histoire, seulement six voient leur pelouse foulée régulièrement par des clubs résidents de rugby ou de football. De plus, les gradins restent la plupart du temps vides lorsqu'il s'agit de ballon rond. En outre, les collectivités subissent les coûts de maintenance de leurs infrastructures géantes, comptant sur quelques manifestations pour amortir le tout.

A ce sujet, nous sommes tous unanimes pour dire que le problème est avant tout économique.
Un membre des rédacteurs de notre équipe a voulu sonder les avis sur la question, voici les résultats :

D’après vous le football, avec ses origines très populaires, n’est t’il pas entrain de devenir un sport de riche ?

L.S : «En France, lorsqu’on observe les prix exorbitants des abonnements télé qui atteignent environ 40euros/mois (Bein + Canal), des places dans les stades, des produits dérivés, on constate qu’investir dans le foot ne peut être que rentable »
J.V : « Le football reste l’espoir de tous les jeunes du monde afin de sortir de leur « milieu » et de devenir des stars gagnant plusieurs milliers d’euros car au foot il suffit d’un simple ballon pour jouer ».

Dans ce cas, que pensez-vous du football dans les pays en voit de développement ?

F.P : « Le football dans les pays en voie de développement nécessite des investissements énormes afin de financer les différentes infrastructures mais celles-ci permettent de créer de l’emploi et attire les foules lors des évènements tels que la Coupe d’Afrique des Nations ».

Finalement, quels sont ces fameux blocages économiques  concernant l’Afrique du Sud ?

N.S : « Lors de la CAN, les supporteurs venant de certains pays (Ethiopie, Angola, etc.) n’ont pas les moyens de s’offrir le déplacement jusqu’en Afrique du Sud, ainsi cela souligne un manque de pouvoir d’achat qui révèle les problèmes socio-économiques présents au dans les pays participants ».

Durant la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud, le pays avait déjà investit énormément pour l’organisation de l’événement. Mais les pays qui ont réellement les moyens de financer ces événements ne peuvent-ils pas être les seules à les organiser ?

mardi 15 janvier 2013

Des cadors de Premier League favorables au fair-play financier

Arsenal, Tottenham, Manchester United et Liverpool ont fait la demande de l'instauration du fair-play financier établi par l'UEFA au sein de leur championnat. Cette requête a été soumise en prévision d'une réunion entre les vingt clubs de l'élite le mois prochain. Ils veulent des mesures encore plus significatives qu'elles ne le sont déjà. Ces mesures qui ont été proposées sont notamment d'empêcher l'arrivée de nouveaux riches investisseurs comme à Manchester City et la ligue anglaise veut également éviter que le sort de Porstmouth s'applique à d'autres clubs. Elles auraient alors un impact plus important sur la limitation du renflouement des pertes des clubs. Si les mesures du fair-play financier sont plus concrètes, il sera plus facile de réunir les 14 voix nécessaires à l'application de ce projet. Ces cadors ont leurs opposants à ce sujet. En l'occurrence, il s'agit des clubs qui dépensent beaucoup (référence surtout au marché des transferts) comme Chelsea ou Manchester City. Aujourd'hui, seuls Manchester United et Arsenal appliquent déjà les règles fixés par l'UEFA.




Selon nous, le fair-play financier représenterait une belle opportunité pour le monde du football. En effet, il existe aujourd'hui encore trop d'inégalités financières entres les différents clubs européens. Néanmoins on ne peut pas se plaindre de la situation actuelle si l'on se place du point de vue du spectateur car ils ont permis la venue de grands joueurs dans un championnat réputé peu attractif dans sa première approche mais encore l'apport du spectacle et le frisson que peuvent faire ressentir ces grands talents. Si la Ligue 1 est aussi attractive aujourd'hui, c'est en grande partie dû aux millions d'euros investis par le Quatar en France. Et, comme toute décision, elle va plaire à certains et déplaire à d'autres.

Quelle charnière préférez vous contre l'Espagne ?